Le blouson Grand Cerf
Vous l'avez voulu très fort, et nous aussi. Nous avons traversé "quelques" péripéties.
Un an plus tard nous sortons un nouveau blouson en pré-commande et on vous dit tout !

NOTRE NOUVEL ALTER CUIR : UNE MATIÈRE ISSUE DU RECYCLAGE DE CÉRÉALES
Notre premier blouson passage de l’Ancre a été sold out très rapidement et vous avez été nombreuses à nous demander un réassort. Pour la première version, nous avions acheté des fins de rouleaux (passion upcycling) et au moment de faire le réassort, impossible de recommander cette référence (crise de panique). Hors de question de baisser les bras chez Poétique, nous prenons donc un avion pour Milan fissa (pas le time) et nous revenons à Paris avec des tonnes d’échantillons sous les bras.
Nous nous lançons dans les prototypes avec l’atelier… 5 essais plus tard (et quelques mois), toujours pas de pièce validée. Parce que nous sommes exigeantes sur la qualité et l’éco-responsabilité, nous nous sommes promis de sortir un modèle qui corresponde aux valeurs éthiques et esthétiques de Poétique.
Finalement, une seule issue nous semble possible : développer notre matière avec notre fournisseur (même pas peur). Aujourd’hui c’est chose faite, et nous sommes super fières de vous présenter notre nouveau blouson en alter cuir Poétique Paris !
LIFE IS A BICHE !
Dans la lignée de notre premier blouson, nous revisitons une pièce iconique du dressing rock en alter cuir. Nous avons imaginé un design sobre pour plaire à chacune d’entre vous et s’adapter à toutes les tenues (de la réunion de 10h au dernier verre de 4h).
Cette pièce est un hommage au passage du Grand Cerf et son quartier, ses rues piétonnes, ses boutiques au charme suranné, ses bars dont on a tous usé les tabourets (enfin nous oui ! #gênance). Pour l’occasion, nous faisons appel à une nouvelle illustratrice qui rock le bambi de notre jeunesse. Spécialiste du dessin de concert (live painting), elle s’attaque à un autre genre d’animal juste pour nous !

«Un chemin est-il moins beau parce qu'il y a des épines dans les haies qui le bordent ?»
Henri Beyle, dit Stendhal Le Rouge et le Noir